Suite à la publication du portrait-robot des 100 personnalités qui font bouger la Guinée 2024, nous saluons une méthodologie et une démarche qui va en profondeur.
Quand le comité écrit : 《 Le poids sur les réseaux sociaux, le nombre d’abonnés et tout référencement internet, ne sont pas des critères principaux de sélection même si nous reconnaissons que, nous sommes dans un monde ultra connecté, le moindre frémissement du compte d’une personnalité est toujours scruté, partagé, déchiffré et analysé. Nos critères reposent sur le leadership et le management de la personnalité dans son secteur d’activité, l’impact des actions, bilans, résultats des activités de cette personnalité sur le développement national sans omettre son impact positif et son influence sur la communauté ; la visibilité des structures pilotées dues à des programmes élaborés, des réformes engagées, des mutations engendrées etc…l’autre influence mesurée par le Think tank COPE-GUINEE, les cabinets et médias en ligne partenaires ; c’est la capacité de certaines personnalités de faire l’actualité ? Leurs rôles dans la prise de décision ? Leurs engagements dans le décollage socio-économiques de la Guinée ? Leurs Volontés ardentes à poser des réformes mêmes les plus impopulaires, mais bénéfiques pour la communauté et le pays ? Il faut mentionner des compilations de l’ensemble des données, les informations des institutions nationales et internationales de promotion de la bonne gouvernance au niveau national, sous-régional et international, les analyses des experts, économistes, journalistes, les rapports des institutions internationales ; le traitement des informations par triangulation et analyse multicritère avec des pondérations ; la performance, l’impact et la santé des structures pilotées par ces personnalités.
Je pense que cet événement doit être soutenu non seulement par les autorités, les Institutions internationales etc…il existe partout dans le monde des événements de distinction que ce soit dans la sous-région ou au-delà du continent. Je pense sincèrement il faut donner du poids à un tel concept qui a déjà 8 années d’existence et donc les critères de sélection reposent sur du solide, du roc en un mot.
L’avis d’un expert d’une institution internationale en Guinée